Nous vivons l’horreur d’une guerre menée par des monstres sanguinaires, aveuglés par la haine.
La France est une nouvelle fois touchée dans sa chair. Elle pleure des victimes et crie son incompréhension et sa colère.
Toute ma compassion va aux familles, à leurs proches, aux équipes mobilisées pour soigner les blessés et accompagner la souffrance des milliers de gens réunis hier sur la promenade des Anglais.
Nice est en deuil et j’exprime ce matin, après une nuit d’insomnie, mon empathie pour le maire de la ville, Philippe Pradal, pour Christian Estrosi et pour Eric Ciotti.
Je leur dis l’entière solidarité des grassois unis dans la peine.
Attaqués dans ce que nous avons de plus précieux, nous devons plus que jamais faire face. La Liberté est en danger.
Restons forts, dignes et lucides pour affronter nos ennemis.