La situation inédite que nous vivons actuellement, comparable à un état
de guerre décrété contre un virus tueur, ne nous permet pas de nous
rassembler pour honorer la mémoire des victimes de la fusillade du 26
mars 1962 à Alger.
Mais cela ne nous empêche pas de penser à ces
victimes d’une page douloureuse de l’histoire de notre pays. Une page
remplie de souvenirs, de vie, de souffrances, de mort, comme en est
composé le grand livre de notre histoire. Un drame qui s’est produit
quelques jours après le cessez le feu, quelques jours après les Accords
d’Evian.Un drame longtemps passé sous silence, un silence qui n’a fait
qu’ajouter à la peine endurée.
Donc en cette période particulière, ne passons pas sous silence cette date.
Vive Grasse !
Vive la Provence !
Vive la France !
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